Au rang des violations commises par les groupes armés, Amnesty International note le blocage de l’accès et l’approvisionnement commercial de plusieurs villes dans le Nord et l’Est du Burkina par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM).
L’organisation note également qu’en août 2022, les autorités nationales ont reconnu leur responsabilité dans la mort de « plusieurs » civils lors de frappes aériennes contre des groupes armés sur l’axe Kompienga – Pognoa, près de la frontière avec le Togo.
C’est ce qui ressort du rapport 2022-2023 de Amnesty international sur les droits humains dans 156 pays dont le Burkina Faso. Ledit rapport a été présenté aux journalistes, ce mercredi 29 mars 2023 à Ouagadougou.