« On n’achète pas une femme, elle n’a pas de prix dans la tradition. Au lieu de dire payer la dot, on doit dire honorer la famille », souligne Naba Saga 1er, chef de Issouka de Koudougou, lors du débat hebdomadaire de studio Yafa sur la dot. Il faut remarqué que la dot a surtout une valeur symbolique. « Il y a des cas où c’est de la cola, du sel, une poule, un mouton ».
Naba Saga était sur le plateau avec Edith Diarra étudiante et militante de femin-in et Wendlamita Marino Compaoré, chargé de cours de philosophe et d’anthropologie du droit.