Il troque la plume contre la daba. Loin de l’ambiance des rédactions, dans son Panamasso natal à 30 km de Bobo-Dioulasso, Gérard Sanou n’a désormais d’yeux que pour ses tubercules de manioc. Avec des partenaires occidentaux, le jeune compte industrialiser la filière manioc. Le désormais ex journaliste dit avoir enfin trouvé le salut dans le manioc.