Des jeunes filles apprennent le tissage et la teinture pour échapper à la rue. Victimes de violences voire de tentative de viol, ces jeunes vendeuses ambulantes sont formées à des métiers grâce au groupement Song-Taaba de Bittou. « Même si elles ne se prostituent pas, le fait de porter l’assiette et se promener pour vendre, les hommes les considèrent comme des prostituées… », Joséphine Nana, présidente du groupement.