Les mois de juin, juillet et d’août sont des périodes de pique de paludisme au Burkina. Les centres de santé sont habituellement débordés à cette période de l’année. La prise en charge des malades devient de plus en plus difficile en cette période. « Cela fait 3 jours que je souffre, j’ai pris des médicaments à la maison mais je ne guérissais pas. C’est pour cela que je suis venue au centre de santé et maintenant ça va » témoigne Bibata Youbgaré, une patiente.