Représentant de l’Union nationale des associations des parents d’élèves du Burkina, Souleymane Nignan, estime ces efforts insuffisants. « Nous avons demandé au ministère de faire davantage. C’est bon, mais ce n’est pas arrivé. Nous avons souhaité plus d’infrastructures pour que tous les enfants en situation d’insécurité puissent aller à l’école », dit-il. « Il n’y a pas que le ministère pour tout faire », rétorque Lucien qui interpelle les familles et la communauté éducative.