Chaque 15 août, à l’occasion de la fête de l’assomption, des centaines de jeunes dagara convergent à Dissin, leur commune d’origine. Un retour aux sources apprécié par ces jeunes. « C’est une tradition. Quand on n’est pas là-bas, on a l’impression que notre âme est ailleurs, et notre corps est aussi ailleurs. on veut profiter et renouer avec cette tradition », explique Serge Poda, ressortissant de Dissin.