Dans la capitale burkinabè, les femmes ont investi les abords des écoles et des établissements pour y vendre de la nourriture aux élèves. Du pain aux gâteaux, en passant par le haricot et le bissap, il y en a pour tous les goûts et tous les budgets. Ces petits marchés sont une opportunité pour ces femmes de gagner leur vie, mais aussi pour les élèves de se restaurer et de se détendre.