A Bama, à quelques kilomètres de la vibrante Bobo Dioulasso, une révolution silencieuse se déroule dans les assiettes des Burkinabè. Le poisson d’eau douce, autrefois boudé au profit du poisson de mer importé, s’invite désormais dans les plats. Adjara Sanou, une entrepreneure, au cœur de la vente du poisson d’eau douce en fait son gagne-pain.