A Ouagadougou, des femmes déplacées internes, comme Kalidjèta et Ramata, sont contraintes de mendier pour survivre après avoir fui l’insécurité. Elles cherchent désespérément des activités rémunératrices pour subvenir aux besoins de leurs familles.
A Ouagadougou, des femmes déplacées internes, comme Kalidjèta et Ramata, sont contraintes de mendier pour survivre après avoir fui l’insécurité. Elles cherchent désespérément des activités rémunératrices pour subvenir aux besoins de leurs familles.