Les invitées de l’émission Ya’Débat appellent à une répression accrue dans la lutte contre le mariage précoce des jeunes filles. Selon Edith Sawadogo de l’association des jeunes filles leaders, ni la pauvreté, ni les pesanteurs socio-culturelles ne peuvent justifier le mariage des enfants au Burkina. Même consentante, à 17 la fille n’est pas assez mature pour supporter le poids du foyer. souligne Olivia Ouédraogo, conseillère genre et protection de l’enfant à Plan international.