Plusieurs jeunes burkinabè sont déçus cinq ans après l’insurrection populaire d’octobre 2014. Pour eux, les aspirations de la jeunesse ont été reléguées au second plan par les autorités et les conditions de vie se dégradent de plus en plus. D’autres jeunes estiment par contre qu’il y a des changements dans bien de domaines notamment sur la question de la corruption.