Kaya abrite plus de 17 000 déplacés internes qui pour la plupart ne pensent pas aux fêtes cette année. Loin de leurs proches à cause des menaces terroristes et sans ressources, ils espèrent néanmoins passer une bonne fin d’année.
Kaya abrite plus de 17 000 déplacés internes qui pour la plupart ne pensent pas aux fêtes cette année. Loin de leurs proches à cause des menaces terroristes et sans ressources, ils espèrent néanmoins passer une bonne fin d’année.