‘’ La nuit, il fait froid. Les plus jeunes pleurent. Pour dormir, ils sont obligés de se serrer jusqu’au matin’’ affirme Salamata une déplacée interne. Ils sont nombreux à dormir à même le sol, dans des poulaillers, sans couvertures, ni vêtements chaud. Face au froid, des centaines de personnes déplacés, se protègent difficilement, en attendant le soutient de généreux donateurs.