Métier en vogue depuis ces dernières années au Burkina, la maîtrise des cérémonies est généralement confiée à des jeunes hommes. Reléguées à un rôle de second plan, les rares femmes maîtresses de cérémonie ont du mal à s’imposer. Les raisons : la méfiance des organisateurs d’évènements et les cachets de prestation souvent peu élevés.