A Ouagadougou, certaines quartiers comme Dapoya trainent une mauvaise réputation à cause des prostituées qui fréquentent les ruelles chaque soir. Des jeunes filles de Dapoya disent en souffrir puisqu’elles sont souvent taxées, à tort, de filles de joies. Entre le ras-le-bol et la colère, des résidents expliquent avoir combattu le phénomène en vain. Découragés, certains craignent pour l’éducation de leurs enfants.