Les déplacés internes de la ville de Kaya disent avoir tout abandonné pour sauver leur vie. Traumatisés et démunis, aujourd’hui ils n’ont qu’un souhait : Trouver des activités génératrices de revenus, pour subvenir à leur besoin. Selon le haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés, le Centre-Nord a enregistré courant janvier 2020, près de 270 000 déplacés internes dont 52% de femmes.