Les influenceurs Burkinabè peinent à vivre de leur présence virtuelle sur les réseaux sociaux à la différence de leurs confrères, ivoirien, sénégalais et de certains pays anglophones. Cette situation est-elle liée au manque de professionnalisme ou de méconnaissance de la capacité d’entrainement de leurs posts.
En un post sur sa page Facebook sur le droit de cuissage ce 22 janvier à 21 /59, Jean Didier Naré a récolté 326 j’aime, 161 commentaires et 77 partages. En une publication, cet officiel de la toile invite à la dénonciation, à la confrontation, bref à une prise de position. Suivie, par plus de 16 mille personnes sur Facebook, Jean Didier Naré se définit comme un influenceur. Il prend fait et cause pour certaines questions sociales, politiques. Ces followers sur Facebook, au-delà de la notoriété conférée, font de lui un relai publicitaire de structures de communication.