Selon les invités de Ya’Débat de ce vendredi 26 juin, la réconciliation nationale est une question politique qui doit toutefois impliquer la participation de toutes les couches sociales du Burkina Faso. « Même si les gens disent que les problèmes viennent des politiques, tous les Burkinabè subissent les conséquences de ces problèmes », souligne François Kaboré représentant de la CODER. Pour Serge Bambara, du Balai citoyen, le processus de réconciliation nationale n’aboutira que si l’on applique la justice dans sa forme classique au lieu qu’elle soit transitionnelle. Aicha Ouédraogo du HCRUN rétorque quant à elle y voit une complémentarité.