Chaque soir, un groupe de personnes se regroupent au niveau du rond-point des Nations Unis, non loin de la présidence du Faso, pour disent-ils veiller sur le président de la Transition du Burkina Faso Ibrahim Traoré. Ils disent vouloir lui apporter le soutien et la protection que le président Thomas Sankara, assassiné en 1987, n’a pas eu.