Les enfants sont les premières victimes de la crise sécuritaire au Burkina Faso. Plus de 60% des personnes déplacées sont des mineurs qui ont dû quitter leur domicile, leur école et leur environnement à la suite d’attaques terroristes. Dans les lieux d’accueil, ils sont souvent démunis et exposés au risque d’instabilité, de malnutrition et de maladie. Certains sont même contraints de rejoindre des groupes armés qui sévissent dans le pays.