A Bittou – localité frontalière entre le Burkina et le Ghana- les pesticides non homologués sont vendus au vu et au su des autorités en charge de l’agriculture et de la santé. Ces produits sont pourtant dangereux pour la santé et polluent l’environnement. « Les produits du Ghana sont moins chers que ceux du Burkina qui sont autorisés », avance Illiassou Kéré, producteur. Plusieurs autres producteurs avancent les mêmes raisons de cherté des pesticides burkinabè.