Salif Ackerman Ouédraogo revient à la charge. Il tient à apporter des précisions. Il n’est pas question d’imposer la mesure. Les femmes auront le choix entre trois et six mois. Pour ce qui est des éventuels manques à gagner pour les entreprises, la question peut être discutée, des formules peuvent être trouvées.
En tout cas, pour Salif, les six mois ne sont pas des congés sabbatiques, mais pour que les enfants grandissent dans de bonnes conditions. Des pays l’ont fait, et le Burkina également peut le faire, défend-t-il. Il ajoute également que la pétition propose de faire passer le congé de paternité de 72h actuellement à un mois.