De nombreux jeunes burkinabè disent souffrir de ne pas porter du nom de famille de leur géniteur. Amina- son nom d’emprunt-, 19 ans, vit cette épreuve entre douleur et optimisme.
De nombreux jeunes burkinabè disent souffrir de ne pas porter du nom de famille de leur géniteur. Amina- son nom d’emprunt-, 19 ans, vit cette épreuve entre douleur et optimisme.