Au Burkina Faso, les jeunes sont très souvent animés par la crainte d’entreprendre selon les invités de Ya’Débat. Pour Isis Bikoi, coach, conférencière cette crainte se justifie au regard de curricula de formation dans les écoles du Burkina Faso. « Ici, nous avons une culture bureaucratique », dit-elle. Mounine Sissao, coordinateur du projet ProFeJec, estime de son côté, qu’il faut plutôt mettre l’accent sur la personne parce que, dit-il, la réussite dans l’entreprenariat découle d’un engagement personnel. Le jeune entrepreneur Martial Bado, est convaincu qu’il faut suivre les succès stories si l’on veut réussir véritablement dans l’auto emploi. ‘’ Quand on suit les lions, on ne peut que devenir lion ’’, foi de Martial.