‘’Même si les autorités décident de nous aider pour ces fêtes, cela ne changera pas grand-chose. Nous pensons plutôt à nos proches tués par les terroristes », affirme Karim Sawadogo, déplacé accueillie sur un site à Kaya. Comme lui, près 17 000 autres déplacés n’ont pas la tête aux fêtes de fin d’année.