Ils sont devenus conducteurs de motos-taxis, après plusieurs échecs ailleurs. Pour de nombreux jeunes de Tenkodogo, mener une telle activité, est préférable au chômage. ‘’ Cela fait bientôt 10 ans que je conduis, mais je n’arrive toujours pas à prendre convenablement soin de ma famille’’ affirme Ibrahim Samandoulougou, jeune conducteur. Tout comme la circulation des tricycles transformés en taxi, celle des motocyclettes, n’est pas non plus, règlementée. Même si ses principaux acteurs tentent de mieux organiser l’activité.