Au Burkina, de nombreux jeunes diffusent de plus en plus leurs dernières conversations d’avec un proche décédé brusquement. Selon le Sociologue Rodrigue Hilou : « Ça frise le plus souvent le sensationnel. Mais c’est malheureusement une nouvelle manière d’exprimer la douleur devant la mort qu’il faut intégrer dans notre regard sur la société actuelle. »